LE BLOG
LIBRE - SAX
|
le récit initial : page 1 tititati tatatatata ti tatitita titita // tatata tati // tattitati tati tatatatata titatati ti titati // tititi tatata tititi // tititi tatata tititi tititati tatatatata ti tatitita titita // tatata tati // tattitati tati tatatatata titatati ti titati // tititi tatata tititi // tititi tatata tititi Antoine pensait que la chance pourrait bien tourner. Ça avait pourtant plutôt mal commencé. Le Cessna ne l'avait jamais trahi, mais là, au début d'une belle tempête de sable, il avait pris le risque de décoller, et il avait perdu. Heureusement, il avait pu se poser en catastrophe à moins d'un kilomètre du village. Sauf qu'il ne savait pas du tout de quel village, ni même de quel pays. Il n'avait rencontré personne en pénétrant dans le village. Il était entré s'abriter dans la première maison ouverte, et il avait trouvé tout de suite le poste radio-amateur. Indicatif CN0PER. Le Maroc. Il avait envoyé un SOS avec son indicatif à lui. Il imaginait déjà les radio-amateurs du monde entier se relayant pour faire circuler son message. Ça lui rappelait un film dont il ne se rappelait plud le titre. Il reviendrait plus tard pour renvoyer son message, il voulait d'abord explorer un peu le village et, si possible, rencontrer ses habitants. Bien vite, l'étrangeté du lieu le remplit d'un certain malaise. Toutes les maisons se ressemblaient, non seulement de l'extérieur, mais aussi de l'intérieur. Derrière la porte d'entrée, une pièce presque entièrement vide à l'exception d'une table supportant une coupe de fruits et une carafe d'eau. Des murs blancs. Une porte à droite et une autre à gauche. Et personne. Seuls changeaient les fruits contenus dans la coupe, raisins, pommes, abricots, mangues, ananas, ... Au moins il ne mourrait pas de faim ni de soif. Comme les ruelles forment un espèce de labyrinthe, il prend la précaution de marquer son trajet avec des flèches tracées à chaque intersection. Il espère juste que la tempête de sable ne les effacera pas trop vite. Il ne compte plus les portes ouvertes, les coupes de fruits et les carafes d'eau. La nuit tombe rapidement comme toujours sous ces latitudes. Malgré la pleine lune, il est sûr de ne pas y voir assez pour retrouver son chemin vers le poste radio. Il décide donc de s'arrêter dans la prochaine maison pour y passer la nuit. 3 possibilités : 1) Il rentre dans la maison, regarde par la porte de droite, puis par la porte de gauche et son malaise grandit. Seules deux pièces entièrement vides donnent sur l'entrée.Pas une chaise, pas un lit, pas de salle d'eau, pas de cuisine. Il prend une grappe de raisin, boit à même la carafe, s'allonge sur le sol. Il s'endort en moins de 5 minutes. (roman C)(sax) 2) Sitôt la porte poussée, une fille au longs cheveux bruns lui saute au cou, l'entraîne par la porte de droite et lui montre le lit. "Décidemment la chance a bien tourné" se dit-il en s'allongeant sur le dos. ( roman A)(michel) 3) La porte ne donne pas sur la pièce habituelle, mais sur une grande salle où, manifestement, tous les habitants du village sont réunis. Un homme, peut-être le plus vieux du village, se lève, le désigne du doigt et s'écrie : "C'EST LUI !". (roman B)(arielle) |
Romans issus de la suite 2 (A) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
|
|
|
|||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Roman(s) issu(s) de la suite 1 (C) | Romans issus de la | suite 3 (B) | |||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Roman
C : Antoine, prisonnier du désert
|
|
|